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il y a 8 ans
Les vacances d’été avaient été chaudes, et c’est avec un courage nouveau que j’avais attaqué cette première année à l’université.
Tout avait changé pour moi il y a environ un mois : le changement de ville, découvrir la vie en autonomie, et surtout l’environnement des études post-bac. Je passais depuis la rentrée mon temps à me balader entre les amphis et ma chambre en cité universitaire.
C’était nouveau pour moi ! Ma petite chambre ne contenait qu’un seul espace, où j’avais réussi à caser un lit, un bureau, un frigo et une bibliothèque. Avec une pointe de détermination, j’avais collé quelques affiches de mes films préférés au mur, et j’avais installé une plante verte à côté des larges vitres qui donnaient sur le parc central, entre les bâtiments pour les cours et ceux dédiés aux logements étudiants.
Bref, tout ça pour dire que je m’étais fait mon petit chez-moi ! À mon âge, c’était aussi l’occasion d’apprendre à vivre par moi-même, et peut-être de faire des rencontres. Si je suis en couple avec une fille rencontrée en classe à la rentrée, je n’en suis pas moins ouvert pour de nouvelles rencontres amicales, et c’est avec plaisir que je passe des soirées chez les uns et chez les autres.
Malheureusement, compte tenu de l’épaisseur des murs des chambres universitaires, j’ai bien du mal à inviter des amis à boire un coup, ou même ma copine, pour tirer un coup, cette fois-ci.
Ce qui m’est arrivé hier soir et tout à fait particulier, et c’est pour ça que j’ai besoin de le coucher sur le papier maintenant. C’est arrivé à peu près vers une heure du matin, peu de temps à près le couvre-feu de 23h. à cette heure-là, le campus est plutôt tranquille, il est même plutôt mal vu de faire du bruit. A quelques exceptions près évidemment, à savoir les gens qui rentrent de soirée légèrement abîmés.
C’est vers cette heure-là que je commence à m’endormir. Pour faciliter les choses, je prends parfois le temps de m’adonner à une jolie masturbation. C’est mon petit rituel quotidien, que je pratique tous les soirs depuis mon arrivée ici. Je passe une petite demi-heure une main dans le caleçon, et l’autre sur la souris, à passer les pages de blogs peu recommandables.
Je venais tout juste de commencer que j’ai entendu du bruit dans le couloir, malgré mes oreillettes vissées sur les oreilles. Le bruit se rapprochait et je reconnaissais la voix, transformée par l’alcool, de mon voisin de chambre, avec lequel je partageais un mur. Ce n’était pas la première fois qu’il revenait beurré, je ne m’en suis pas donc soucié. C’est donc le dos à la porte, que j’ai entrepris de recommencer ma consciencieuse astication nocturne.
C’est alors que j’ai entendu le bruit de clés dans la serrure de ma porte : il s’était probablement trompé ! J’entendis le léger grincement des gonds sans pouvoir y faire grand-chose : dans ces bâtiments, il est mal vu de s’enfermer à clé, au risque d’être soupçonné de cacher des choses de valeur.
Mon voisin est donc entré dans ma chambre, peut-être sans le vouloir, et s’est retrouvé nez-à-nez avec mon pantalon posé à l’autre bout de la pièce et ma main serré autour de ma hampe. Aucun doute possible : il m’avait vu en pleine action, l’écran de mon PC ne pouvait que confirmer. J’étais justement en train de défiler les photos HD d’un blog d’illustrations homosexuelles…
Il resta quelques millisecondes légèrement pétrifié, puis après avoir jeté un coup d’œil sur mon écran puis sur mon entrejambe que je cachais comme je pouvais : j’étais nu comme vers ! Quelle honte, j’étais pétrifié. Mon dieu, ça deviendrait mon pire souvenir de toute ma vie. C’est alors que tout a basculé : je l’ai vu esquisser un léger sourire.
Il referma la porte, avec lui à l’intérieur, et j’ai écarquillé les yeux : je pris alors conscience de la situation, me précipitant vers mon pantalon. Ce mec n’était pas du genre à être ouvert d’esprit aux sexualités alternatives ; je le savais changer de copine plus souvent que de caleçon (littéralement), et ces dernières trouvaient manifestement toujours une manière très imagée d’exprimer la v i o l ence qui caractérisait leurs ébats. Ce mec devait probablement casser la gueule à des gays dans la rue, c’est clair.
-
Heu, désolé, je bredouillais.
-
Non ! Me chuchota-t-il
Faisant mine de n’avoir rien entendu, je commençais à enfiler mon pantalon. Mais une fois la porte refermée à double tour et les clés soigneusement rangées dans sa poche, mon voisin se précipita sur moi, me poussant légèrement contre mon bureau, me prenant le bras fermement. Je prenais toute la mesure de notre différence de gabarits. J’étais fin, les bras extrêmement maigres, lui était légèrement plus petit que moi, mais bien plus épais. Il devait s’occuper en faisant du rugby. Toujours est-il que sa main faisait largement le tour de mon bras, qu’il bloquait totalement. J’étais mal. J’allais me faire péter la gueule et je ne pouvais espérer que m’en tirer sans dents cassées.
-
J’ai raté mon coup cette nuit putain. Je n’ai pas réussi à baiser, fais chier, articula-t-il d’un ton monolithique.
-
Ha m e r d e , désolé pour toi me-mec, je bredouillais. Ça marchera peutete-peut-peut-être – pardon –, ça marchera peut-être mieux demain ?
Je sentais son haleine alcoolisée, c’était une v i o l ence supplémentaire. Il n’était pas vraiment dans son état normal. J’étais nu, je ne débandais pas. Bordel, c’était fini pour moi, je vais terminer aux urgences, défiguré, c’est sûr.
-
Tu vas me sucer, là, maintenant.
-
ATTENDS, DE QUOI ?
Il me saisissait encore le bras, alors j’ai tenté de me dégager avec mon autre main. Il renf o r ç a son étreinte, et utilisa son autre main pour me saisir mon deuxième bras. Sous le choc je n’avais pas réagi avec rapidité. J’étais totalement bloqué.
- Nan, sérieux, tu vas me sucer, et en silence.
J’étais complétement vaincu. Ce mec faisait probablement deux fois mon poids en muscle, en plus d’avoir une demi-tête de plus que moi. Probablement un futur champion de rugby. Je tentai l’humour.
-
De quoi ? Haha sérieux mec, rentre chez toi, t’es ivre m o r t là.
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T’as pas compris gars. Là tu vas me sucer au lieu de te branler. J’ai vu tes sites, t’aime ça, et moi je suis teeeellement en manque.
-
Jamais de la vie, t’es dingue ou quoi ? J’ai fait.
-
Sérieux. Ne bouge pas.
Il a sorti son téléphone. J’ai retenté de me dégager, mais rien à faire, je n’étais juste pas assez fort. Il s’est reculé un peu tout en continuant de me saisir, il a pointé l’objectif de son téléphone vers moi. J’ai entendu un clic.
-
Si tu me suces pas, j’envoie ça à ta copine. Il me montra la photo : on me voyait à poil, l’intégrale, avec mon écran juste derrière.
-
N’importe quoi, t’as même pas le numéro de ma copine.
Mauvaise idée. Il chopé mon téléphone sur le bureau, juste à côté de moi.
-
Bah si. Et il prit en photo aussi son numéro.
-
Okay, okay. Bon, je vais te branler d’accord, et tu supprimes la photo ?
Je n’arrivais même pas à croire ce que j’étais en train de dire. Il me lâcha le bras.
- Si tu t’arrêtes avant j’envoie le message, sale pute, il m’a lancé.
Alors il m’a poussé pour s’asseoir sur le bureau, en retirant difficilement son jean. Ses fesses étaient posées sur mon clavier d’ordinateur. Son caleçon était déformé par une bosse gigantesque.
- Vas-y.
J’ai pris mon courage à deux mains. Je n’avais jamais eu d’expérience gay avant, mais j’assumais clairement mes attirances bisexuelles à mes amis. C’était le moment d’y aller. J’ai saisi son caleçon pour le tirer.
Malgré l’alcool, son sexe était parfaitement dur. C’était un magnifique chibre légèrement plus épais que la moyenne, de ce que j’en avais vu sur internet. Il me visait, prêt à me cracher dessus. J’ai regardé ce mec qui m’avait dominé si facilement dans les yeux. J’avais tellement honte que j’en bandais moi aussi de nouveau. J’ai saisi son sexe avec ma main droite, en regardant par terre. Il me prit le menton, pour le relever au niveau de ses yeux.
- Allez, astique putain, c’est pas comme si tu savais pas comment faire, haha, lâcha-t-il un peu trop fort à mon goût. Pitié, je suppliais tous les dieux que mes voisins n’avaient pas entendu ça.
J’ai commencé à faire un mouvement de bas en haut, en m’eff o r ç a nt de continuer à le regarder dans les yeux. Sans vraiment me l’avouer, cette situation m’excitait au plus haut point, à un tel niveau que j’avais envie de me branler en même temps. Dans le doute, j’évitai. Il ressorti alors son téléphone. Je le regardais impuissant lancer ce qui pouvait être soit une photo, soit carrément une vidéo. Dans tous les cas, j’étais coincé.
- Souris à la caméra, lopette.
Je ne souriais pas, justement, et j’étais concentré à abréger cette situation le plus vite possible. J’avais donc entrepris de lui malaxer les couilles par la même occasion, ce devait offrir un formidable plan pour sa carrière de réalisateur de film X.
- Allez, maintenant tu suces.
Je le regardai avec des yeux ronds.
-
Je.. Je n’ai jamais fait ça, j’ai pas envie.
-
Tu veux que je poste ma vidéo sur Facebook alors, lança-t-il en s’allongeant plus fortement sur le bureau.
Aucune échappatoire.
Je crois que ma volonté s’est brisée à cet instant précis. J’ai pris son chibre dans ma bouche, et je l’ai sucé. J’ai fait au mieux, sans baver. Son sexe était propre, il sentait bon. Mon voisin prenait son pied, allant jusqu’à me saisir la tête en signe de domination. Je n’ai jamais eu l’impression d’être aussi humilié de ma vie. Je m’appliquais malgré tout, passant du temps sur son gland, à vitesse constante.
Et puis au bout de longues minutes, il se cambra légèrement, en expirant de manière bruyante. Je reçus ses jets de sperme à l’intérieur de la bouche, jusqu’à la glotte. Ne trouvant ça pas si mal, j’ai avalé ! J’essayais de me convaincre que je vivais simplement une expérience, et que j’avais le droit d’aller jusqu’au bout.
- Ho mon dieu salope, j’en demandais pas autant ! Mh…
Il s’essuya avec un de mes T-shirts qui ne traînait pas loin.
- Bordel, ta bouche est vraiment un bon coup. Tu ferais un bon sextoy, me glissa-t-il. Il me caressa la tête avec une soudaine tendresse, à la manière d’un chien qui avait rapporté l’os.
J’eu du mal à parler, parce que j’essayais encore de tout avaler et que ma bouche me faisait mal.
- Pitié, s’il te plait, supprime les photos et les vidéos, pitié, pitié. Je pleurais.
Il finit de se nettoyer les mains dans mes cheveux. Il semblait bien plus sobre que tout à l’heure.
- Désolé, je peux plus.
Une énorme vague de terreur me parcourra l’échine.
-
P.. Pourquoi ?
-
C’est déjà envoyé sur le facebook de ta copine. Et salope, c’est vrai qu’elle est bonne !
Il claqua la porte derrière lui. Il avait pris mes clés.
Sur mon téléphone, je retrouvais des messages envoyés de mon profil à ma copine le mois dernier lui partageant en secret ma bisexualité. Puis plus bas, des messages venant de ce soir, trois photos me représentant humilié, des mains entourant mon visage et un chibre enfoncé dans ma bouche, qui souriait et regardait la caméra. La légende disait : « Enfin ! ».
Dépossession - 2
Je n’avais pas reçu de nouvelles de ma copine suite à la soirée d’hier. Elle avait reçu les photos, c’était sûr. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je me sentais honteux. Je pressentais qu’elle allait m’envoyer un message de rupture dans les heures à venir.
Nous étions samedi. J’avais besoin d’aller faire les courses, je me réveillais donc tôt ; les murs du logement étaient trop fins et j’entendais distinctement les bruits de ronflement de mon t o r t i o n n a i r e , dans la chambre d’à côté.
En sortant je me souvenu que mes clés avaient disparu. En priant que ce cher voisin me redonne mes clés aujourd’hui – j’avais de l’espoir – je me suis mis en route pour faire mes courses laissant la porte non verrouillée.
C’est lors de mon retour les bras chargés que j’ai découvert dans ma chambre que ma copine était posée dans le lit, en train de regarder des vidéos Youtube. Elle était entrée sans me prévenir. Étant donné la situation, je comprenais qu’elle s’était permis ce luxe. Elle se retourna, possédait une mine grave, les sourcils froncés. Elle était vraiment belle. Ses cheveux ondulaient sur ses épaules et sa tunique mettait en valeur son buste.
Je posais mes sacs en silence. Je n’ai pas eu le temps de me retourner avant de recevoir une claque monumentale. C’était elle qui s’était levée. Je tombais à la renverse, à ses pieds.
- C’était quoi les photos d’hier, connard ?
J’étais terrifié, lorsque Céline se fâchait elle pouvait vraiment me faire peur. La bonne nouvelle c’était que mon voisin semblait absent, à côté. Du moins je n’entendais plus aucun bruit sortir de sa chambre.
-
Je suis désolé, vraiment désolé. Je n’ai pas voulu ça, on m’a f o r c é ...
-
Mais bien sûr. Ça fait des semaines que tu me bassines avec des histoires de plan à 3, je connais tes fantasmes mon cœur. Tu ne vas pas me faire croire que tu ne l’as pas fait exprès !
-
Non, je te jure !
Elle fronça à nouveau les sourcils :
- Tu ne t’en tireras pas comme ça ! Je ne veux rien savoir ! Si tu n’avoues pas maintenant c’est terminé entre nous. Ça fait déjà plusieurs jours que je pense à rompre de toute façon, tu te branles beaucoup trop, pire qu’un collégien.
Ok, cette situation avait dégénéré bien plus que je ne le pensais. f o r c é de mentir pour sauver mon couple, je pris un air coupable, totalement tétanisé par la peur d’être délaissé. Je l’aimais profondément et la perdre à cet instant, après l’épreuve d’hier, ne pourrait que m’enfoncer un peu plus dans la honte.
-
Oui, d’accord, je l’avoue.
-
Tu avoues quoi ? Insista-t-elle, furieuse.
-
J’avoue que j’ai... sucé un garçon.
-
C’est tout ?
-
Oui, oui, bredouillais-je.
Elle inspecta ma poubelle et y trouva quelques mouchoirs.
- Ha, heu, ça c’était pour m’essuyer. Je… Je suis vraiment désolé, c’était une erreur, ça ne se reproduira plus jamais, je te le jure.
Elle me remit une claque.
-
J’espère bien ! me cracha-t-elle. Je ne sais pas encore si je vais te quitter. Il faut que j’y réfléchisse. Je peux pas rester avec un homme qui suce des bites pendant ses soirées de libre.
-
Je te promets que c’était la première fois et que je ne le referai plus jamais !
-
Pourtant tu avais l’air d’aimer sur les photos.
Je restais silencieux. Oui, sur les photos, je semblais totalement prendre mon pied, et mon érection était parfaitement visible sur l’un des clichés. J’acquiesçais d’un signe de tête. Céline avait la mine grave, souffla, pris son sac, sorti sans rien dire de plus et je restais comme un con, ayant avoué à ma copine l’avoir trompée plutôt que d’avoir demandé son aide suite à ce qu’on pourrait qualifier d’un v i o l .
Elle revint dans l’après-midi alors que je m’occupais sur internet. Depuis que mon voisin m’avait volé mes clés je n’avais pas osé aller les lui demander et avais l’impression d’avoir perdu toute notion d’intimité.
Céline se tenait maintenant devant ma porte.
- Je te pose un ultimatum, chéri.
Ok, ça semblait grave. Au moins elle ne m’annonçait pas qu’elle me quittait. Je l’écoutais en silence.
- Je ne veux pas te quitter. Nous passons de bon moments ensemble, et j’apprécie ta compagnie.
Super, c’était une bonne nouvelle.
- En revanche, je te l’ai dit, je sais que tu te branles vraiment trop souvent. Ta sexualité est complètement incontrôlable, je sais que tu te fais facilement manipuler par tes émotions, et ce qui s’est passé hier en est une nouvelle preuve. Je ne peux pas me permettre que tu me trompes une nouvelle fois. J’ai besoin que tu me prouves que tu m’aimes et que tu tiens à moi.
Je me suis approché d’elle, voulant la rassurer que mon amour lui était destiné inconditionnellement. Et c’était vrai : en quelques semaines, je m’étais vraiment attaché à sa présence et la perdre me ferait beaucoup de mal. Elle recula d’un pas et leva sa main m’obligeant à m’arrêter.
- Non, tes promesses ne me suffiront pas, j’ai vu ce que ça donnait. Il faut que puisse en avoir le cœur net. Tout ça me stress tellement de ne pas savoir !
Elle sorti alors une petite boite en carton. Je reconnu immédiatement l’objet, pour l’avoir souvent vu durant mes plaisirs nocturnes. Elle l’ouvrit, le prit en main, et me regardant dans les yeux, déclara :
- Si tu veux que nous restons ensemble chéri, il va falloir porter ça. C’est non négociable.
Je restai silencieux. Ma bite était en feu : j’avais toujours rêvé d’une relation basée sur la chasteté ; car l’objet qu’elle tenait alors était une cage à destination de mon pénis, ce qui lui donnerait un contrôle total sur ma sexualité.
-
Céline, est-ce que tu me donnes le temps pour y réfléchir ?
-
Non. Tu choisis maintenant.
Je fixais l’objet. Dans ma tête, j’avais déjà choisi : je voulais tenter l’expérience. Je m’en approchai, il me semblait vraiment petit, j’avais peur d’avoir mal.
- D’accord, je vais le porter.
Satisfaite de ma réaction, elle continua de me regarder avec patience, dans l’attente d’une action. Je compris que cela serait à moi d’installer cette cage. J’entrepris alors de retirer ma ceinture, baisser mon pantalon et mon caleçon. Je bandais comme un âne. Impossible dans cette situation de mettre la cage. Elle m’adressa alors un :
- Profites-en, c’est la dernière fois que tu te branles pour un moment.
La regardant avec malice, je serais ma main autour de ma bite et commença les va et bien. La vue de la cage m’avait totalement excité, je ne tins que quelques secondes. Je crachai mon sperme dans des mouchoirs, et vaincue, ma bite se rétracta. Je pris la cache dans mes mains, essayant d’en comprendre son fonctionnement. Tout ce temps, Céline me regardait avec amusement : elle savait que cette chasteté serait une épreuve dure pour moi. Mais je pense qu’elle avait raison, cela assurait son contrôle sur mes branlettes, je pourrai mieux la satisfaire. C’est avec cette pensée que j’encageai mon chibre et fixai le cadenas. Elle tendit la main : je lui remis les clés de mon sexe, à présent hors de portée. J’étais maintenant sous son contrôle.
- Chéri, je pense que tu as pris la bonne solution. Elle souriait, les yeux à demi-clôts. Je vais diriger ta sexualité, et tu vas aimer ça, j’en suis sûre.
Elle s’approcha alors de moi, m’enlaçant. Je pris un de ses seins dans mes mains, cherchant du réconfort. Elle était chaude, douce, j’y trouvais une tendresse que ces dernières heures ne m’avaient pas offerte.
Alors que nous nous embrassions, elle malaxa mon chibre encagé qui ne pouvait plus grandir. Je la sentis sourire.
- Maintenant, tu es mon petit encagé. C’est trop mignon.
Je souriais aussi, en me demandant où tout ça aller nous amener. A mon tour je passais une main sur ses fesses, entre ses cuisses, senti la douceur de ses courbes. Elle me lassa faire jusqu’à ce que je j’atteigne son abricot. Céline me tapa la main.
- J’ai cru comprendre que ta bouche te servait bien en ce moment.
Je souris de nouveau. Elle s’assit sur le canapé, je descendis ses bas (elle était en collant), soulevant sa jupe. J’approchai mon visage, senti l’odeur forte de son sexe humide. Elle m’attrapa les mains, qu’elle serait fortement sur les côtés de ses jambes, me paralysant les bras. J’entrepris l’inspection de son clitoris, et senti immédiatement ses genoux s’écarter sous mes caresses. Nous continuâmes ainsi un temps, son souffle court me rendait fou. Mon sexe encagé me brûlait.
-
S’il te plait, libère-moi, j’ai envie de toi.
-
Non, pas cette fois, ça t’apprendra, répondit-elle entre deux gémissements discrets. Elle leva son visage vers le plafond, se concentrant sur son plaisir.
Quelques minutes passèrent et je fusionnais peu à peu avec son vagin. Ma tête cherchait son plaisir par tous les moyens. Elle ne pu s’empêcher de laisser échapper un cri de plaisir lorsqu’elle atteint l’orgasme, me serrant fortement la tête, m’empêchant presque de respirer.
- Dieu du ciel, c’est tellement bon ! Tu n’as jamais été aussi efficace que ça ! Cette cage est encore plus efficace que je ne le pensais !
J’étais heureux d’avoir pu lui offrir ce plaisir. Je n’osais le penser, mais c’était peut-être la première fois que j’arrivais à la faire jouir.
Nous remirent le couvert jusqu’à l’A s p h y x i e , ses cuisses se refermaient sur moi, je ne réfléchissais plus à moi, seulement elle, seulement son plaisir comptait. Seulement son sourire, ses tremblements. Je n’étais plus rien si ce n’est l’outil de son plaisir.
La tête couverte de cyprine, je reçu un baiser de la nouvelle maitresse de mes désirs.
- J’ai fait le bon choix. Tu es devenu quelqu’un d’autre. Je n’aurais jamais pensé que cette cage puisse te changer autant.
Il est vrai que hors de ma cage, j’aurais pris les devants pour qu’elle s’occupe de moi. J’aurais retourné la situation pour mon plaisir personnel. Finalement, c’est elle qui aurait été oubliée. Cette cage ne faisait que me permettre de renvoyer l’ascenseur à ma bien aimée pour les plaisirs de ces derniers mois.
Par instinct et me surprenant moi-même, je lui apportai de quoi à se rincer et pris soin de m’enquiert de ses rendez-vous de la journée.
En sortant, elle glissa ses mains entre mes jambes.
- J’espère que tu vas t’habituer à l’appareil, parce que tu vas le garder un petit moment !
A suivre ici
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